Cabinet spécialisé en chirurgie dermatologique sous anesthésie locale

Notre cabinet de chirurgie dermatologique à Paris 16 propose des consultations spécialisées et des interventions sous anesthésie locale.

Nos experts assurent une prise en charge rapide, avec possibilité d’intervention le jour même ou sur rendez-vous.

Adresse :

16 Avenue du Colonel Bonnet, 75016 Paris

Accessibilité :

Proche de la place du Trocadéro et de la Tour Eiffel.

Station Passy (à 3 minutes à pied)

Ligne C : Station Boulainvilliers (à 11 minutes à pied)

Chirurgie dermatologique des

Grains de beauté

Kystes

Lipomes

Excroissances

Lobes d’oreilles fendus

Horaires d’ouverture :

Du lundi au samedi : 9h30 - 18h30

Horaires d’ouverture :

WhatsApp : + 33 6 60 21 26 26

Téléphone : + 33 1 56 07 12 12

En dehors des heures d’ouverture

(Urgences, 7j/7) :

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La chirurgie dermatologique

La chirurgie dermatologique est une spécialité à part entière qui associe les compétences médicales des dermatologues et des chirurgiens. Elle traite tous les types de lésions cutanées, des plus bénignes au plus sévères comme les cancers de la peau. Ce traitement comprend l’ablation de la lésion et dans certains cas une reconstruction qui peut être plus ou moins complexe en fonction de la zone traitée et de la taille de la lésion. Une expertise dans le domaine est indispensable pour obtenir un résultat le plus esthétique possible.

Processus en 3 étapes pour éliminer un grain de beauté suspect

Le cancer de la peau

La spécialité des practiciens du centre

En cas de cancer de la peau, on pratique une exérèse chirurgicale sous anesthésie locale ou générale : l’opération consiste à retirer la tumeur ainsi que quelques millimètres du tissu sain qui l’entoure pour s’assurer que les cellules malignes soient complètement retirées.

1. Carcinome basocellulaire
Le carcinome basocellulaire est le type de cancer de la peau le plus fréquent. Il se développe à partir des cellules basales de l’épiderme et progresse lentement. Ce type de cancer est généralement causé par une exposition prolongée aux rayons UV du soleil. Il apparaît souvent sous la forme d’une petite masse translucide ou d’une plaie qui ne guérit pas. Bien qu’il soit rarement métastatique, un traitement rapide est recommandé pour éviter les dommages aux tissus environnants.
Le carcinome épidermoïde, également appelé carcinome spinocellulaire, est le deuxième cancer cutané le plus fréquent. Il prend naissance dans les cellules squameuses de l’épiderme et peut se développer sur les parties du corps les plus exposées au soleil, comme le visage, les oreilles, le cou et les mains. Ce cancer peut apparaître sous la forme d’une lésion squameuse, d’une plaie persistante ou d’une excroissance rougeâtre. Contrairement au carcinome basocellulaire, il présente un risque plus élevé de propagation vers d’autres parties du corps s’il n’est pas traité rapidement.
Le mélanome est la forme la plus agressive de cancer de la peau. Il se développe à partir des mélanocytes, les cellules responsables de la production de mélanine. Ce type de cancer peut apparaître sous la forme d’un grain de beauté asymétrique, présentant des bords irréguliers, une coloration hétérogène et une croissance rapide. Les facteurs de risque incluent une exposition excessive aux rayons UV, des antécédents familiaux de mélanome et un grand nombre de grains de beauté. Une détection précoce est essentielle, car le mélanome peut se propager rapidement à d’autres organes.
Bien que les carcinomes basocellulaires, épidermoïdes et les mélanomes soient les formes les plus courantes de cancer de la peau, d’autres types plus rares existent. Parmi eux, on trouve le carcinome de Merkel, un cancer agressif touchant les cellules de Merkel situées dans la peau, le dermatofibrosarcome protubérant, un cancer des tissus mous, et les lymphomes cutanés, qui affectent les cellules du système immunitaire présentes dans la peau. Ces cancers rares nécessitent une prise en charge spécialisée et un traitement adapté à leur nature spécifique.
1. Exposition à un facteur déclencheur

Le cancer de la peau commence souvent par une exposition prolongée à des agents déclencheurs, tels que les rayons ultraviolets (UV) du soleil ou des cabines de bronzage. D’autres facteurs, comme l’exposition à des produits chimiques toxiques ou à des radiations, peuvent également jouer un rôle.

Suite à cette exposition, des dommages surviennent au niveau de l’ADN des cellules cutanées. Si ces mutations ne sont pas réparées correctement par l’organisme, elles peuvent provoquer une altération des mécanismes de régulation cellulaire, favorisant ainsi la transformation des cellules normales en cellules cancéreuses.

Les cellules endommagées commencent à se diviser de manière incontrôlée. Contrairement aux cellules saines, qui suivent un cycle de vie normal (croissance, division, mort), ces cellules cancéreuses échappent aux signaux de régulation et continuent de se multiplier.

Au fil du temps, l’accumulation de cellules anormales entraîne la formation d’une masse appelée tumeur. Cette tumeur peut être bénigne (non cancéreuse) ou maligne (cancéreuse), selon sa capacité à envahir les tissus environnants et à se propager.
Si la tumeur est maligne, les cellules cancéreuses peuvent commencer à envahir les tissus voisins. Elles détruisent les structures saines et s’infiltrent progressivement dans les couches plus profondes de la peau.
Pour continuer à croître, la tumeur stimule la formation de nouveaux vaisseaux sanguins dans un processus appelé angiogenèse. Ces nouveaux vaisseaux apportent de l’oxygène et des nutriments aux cellules cancéreuses, facilitant ainsi leur développement.
Dans certains cas, les cellules cancéreuses peuvent se détacher de la tumeur d’origine et voyager à travers le système sanguin ou lymphatique vers d’autres parties du corps. Ce phénomène, appelé métastase, est particulièrement redouté dans les cancers agressifs comme le mélanome.
À un stade avancé, la propagation du cancer peut entraîner des dysfonctionnements généralisés dans l’organisme. Les organes affectés cessent de fonctionner normalement, ce qui peut entraîner des complications graves et, dans certains cas, mettre en jeu le pronostic vital.
1. Exposition à un facteur déclencheur

L’un des principaux facteurs de risque du cancer de la peau est l’exposition excessive aux rayons ultraviolets (UV), qu’ils proviennent du soleil ou des cabines de bronzage. Les personnes travaillant en extérieur ou vivant dans des régions ensoleillées sont particulièrement à risque. L’utilisation de protections solaires est essentielle pour limiter les dommages cutanés.

Certaines mutations génétiques, qu’elles soient héréditaires ou acquises au fil du temps, augmentent le risque de développer un cancer de la peau. Les individus ayant des antécédents familiaux de mélanome ou d’autres cancers cutanés doivent être particulièrement vigilants et surveiller leur peau régulièrement.
Les cellules de la peau peuvent subir une croissance anormale en raison de dommages répétés causés par les UV, des agents chimiques ou des inflammations chroniques. Une multiplication cellulaire incontrôlée peut favoriser la formation de lésions précancéreuses qui peuvent évoluer vers un cancer.
Lorsque les cellules anormales continuent à se diviser sans contrôle, elles peuvent former une tumeur. Certaines tumeurs restent bénignes, mais d’autres deviennent malignes et nécessitent une prise en charge rapide pour éviter leur propagation.
Un cancer de la peau non traité peut envahir les tissus voisins et endommager des structures cutanées profondes. Cette invasion locale peut causer des douleurs, des ulcérations et des complications fonctionnelles, surtout si la tumeur est située près des yeux, du nez ou des oreilles.
Les tumeurs malignes peuvent stimuler la formation de nouveaux vaisseaux sanguins pour se nourrir et continuer leur développement. Ce processus, appelé angiogenèse, favorise la croissance rapide du cancer et peut faciliter sa propagation à d’autres parties du corps.
Certains types de cancer de la peau, notamment le mélanome, peuvent se propager à d’autres organes par le biais du sang ou du système lymphatique. Les métastases compliquent le traitement et réduisent les chances de guérison, d’où l’importance du dépistage précoce.
À un stade avancé, le cancer de la peau peut affecter le fonctionnement général de l’organisme. La propagation du cancer aux organes vitaux peut provoquer des défaillances et entraîner des complications mettant en jeu le pronostic vital. Un suivi médical régulier et une détection précoce sont essentiels pour prévenir ces complications.

Les actualités

La spécialité des praticiens du centre

Découvrez les différents types de cancers de la peau

Il existe plusieurs types de cancers de la peau, leurs caractéristiques sont différentes selon les cellules dont ils sont issus.

Les deux types principaux sont les carcinomes et les mélanomes.

Carcinome

Carcinome

Les carcinomes sont les cancers cutanés les plus fréquents. Ils résultent souvent d’une exposition prolongée aux rayons UV et se manifestent sous forme de lésions épaisses, ulcérées ou croûteuses. Une intervention rapide permet d’éviter toute aggravation.

Mélanome

Mélanome

Le mélanome est une tumeur maligne qui se développe à partir des cellules pigmentaires de la peau. Il peut apparaître sur un grain de beauté existant ou sur une peau saine. Un diagnostic précoce est essentiel pour une prise en charge efficace.

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FAQ

Questions fréquemment posées

Qu’est-ce que la chirurgie dermatologique et quelles pathologies traite-t-elle ?

La chirurgie dermatologique est une spécialité médicale qui consiste à traiter les affections de la peau, des muqueuses et des phanères (cheveux et ongles) par des interventions chirurgicales. Elle est utilisée pour enlever des lésions bénignes (comme les kystes, lipomes ou verrues), des lésions précancéreuses et des cancers cutanés (comme les carcinomes basocellulaires, spinocellulaires et mélanomes). Elle permet également la correction de cicatrices ou d’autres anomalies dermatologiques nécessitant une intervention.

Les principales lésions cutanées pouvant nécessiter une intervention chirurgicale incluent :

  • Les tumeurs bénignes : kystes sébacés, lipomes, nævus (grains de beauté suspects), verrues résistantes.
  • Les lésions précancéreuses : kératoses actiniques, maladie de Bowen.
  • Les cancers cutanés : carcinomes basocellulaires, spinocellulaires et mélanomes.
  • Les lésions infectieuses ou inflammatoires résistantes aux traitements : abcès, ongles incarnés sévères.
  • Les cicatrices hypertrophiques ou chéloïdes nécessitant une correction chirurgicale.

Lors de la consultation, le chirurgien évalue la lésion à traiter par un examen clinique et, si nécessaire, une dermatoscopie. Il explique ensuite le type d’intervention nécessaire, les risques, les bénéfices et les soins post-opératoires. Selon le cas, un prélèvement (biopsie) peut être réalisé pour analyse avant l’intervention définitive. Un devis et une prise de rendez-vous pour l’acte chirurgical sont également proposés si la procédure n’est pas réalisée immédiatement.

La plupart des interventions de chirurgie dermatologique se font sous anesthésie locale, qui consiste à injecter un anesthésique au niveau de la lésion pour insensibiliser la zone. Dans certains cas particuliers :

  • Une anesthésie loco-régionale peut être utilisée pour des zones plus étendues.
  • Une sédation légère peut être envisagée pour des patients anxieux ou pour des interventions plus longues.
  • Une anesthésie générale est rarement nécessaire, sauf en cas d’exérèse importante ou si la localisation rend l’intervention complexe.
  • Préparation : La peau est désinfectée, et une anesthésie locale est administrée.
  • Exérèse : Le dermatologue retire la lésion avec une marge de sécurité adaptée à la nature de celle-ci.
  • Fermeture : Selon la taille de la lésion, la plaie est refermée par des sutures ou laissée à cicatriser naturellement.
  • Analyse histologique : La lésion retirée est envoyée en laboratoire pour examen microscopique afin de confirmer le diagnostic et s’assurer que l’exérèse est complète.
  • Suivi post-opératoire : Une consultation de contrôle est prévue pour surveiller la cicatrisation et discuter des résultats de l’analyse.

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